L'IEMed collabore à l'édition 2017 de l'International Realities Forum avec un séminaire qui réunit des experts et des hommes politiques chaque année pendant 19 ans pour analyser l'évolution de la Tunisie et de la région.
« Dans toute révolution il y a une contre-révolution dont les forces veulent s’emparer du pouvoir. Mais le peuple a encore son mot à dire et ne pense pas céder ».
L’immobilisme politique contraste avec les transformations profondes de la société et l’épuisement du modèle économique rentier qui a permis d’acheter la paix sociale.
Les jeunes arabes se désintéressent de la politique conventionnelle et construisent de nouvelles formes de participation individuelles et collectives civiques.
Le poids de l’État et des structures publiques reste dominant et les pouvoirs déconcentrés sont plus prégnants, en faisant un appel mesuré aux opérateurs privés.
Dans le contexte des villes polarisées et remises en question, l’action collective peut avoir une influence significative et conduire au changement politique.
La Tunisie tourne la page du terrorisme d’État vers un État de droit. Son succès dépendra de l’éxécutif et du combat de la sociétécivileet des magistratspour le respect de laConstitution.
Projecting a government structure for post-conflict Syria is a cumbersome task. Post-conflict Syria would have to deal with issues such as reconciliation, protection of minorities, security sector reform and reconstruction and development.
Les violations des droits humains peuvent être un « détonateur » de révolutions.
La démocratisation politique après le «printemps arabe» a été marquée par la centralité des formations islamistes.
Over the past six years, Tunisia has been testing new avenues of political order. The transition features several elements of hybridity and fragility, remaining a work in progress and producing a significant number of uncertainties.