L’IEMed reçoit une subvention pour analyser les facteurs qui poussent les jeunes vers l’extrémisme violent

19 décembre 2019 | Corporate news
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Un projet de recherche mené par l’IEMed l’analysera pour améliorer la prévention.

En se concentrant sur les jeunes âgés de 12 à 30 ans du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord et des Balkans, le projet analysera sept facteurs potentiels de radicalisation (religion, numérisation, privation économique, inégalités territoriales, dynamiques transnationales, demandes socio-politiques et opportunités éducatives, culturelles et sociales) selon trois niveaux (transnational, communautaire et individuel) pour déterminer leurs interrelations et leur poids spécifique.

A travers une équipe interdisciplinaire composée de 14 partenaires de la région, une méthodologie innovante sera appliquée qui implique, outre les universités et les think tanks, les acteurs de la société civile et les autorités locales afin de recommander, sur la base des résultats de recherches empiriques , des outils et des mesures de prévention de l’extrémisme violent qui peuvent être appliqués à la fois dans les pays étudiés et dans l’Union européenne.

CONNEKT (Contexts of Extremism in MENA and Balkan Societies) est un projet financé par l’UE, dans le cadre du programme Horizon 2020, avec une dotation de 2,9 millions d’euros et une durée de trois ans et demi.

Le consortium, dirigé par l’IEMed, est composé des entités suivantes:

Université américaine du Caire (AUC)

Générations pour la paix (GFP)

Fondation Jasmine pour la recherche et la communication (JFRC)

Université Moulay Ismail (UMI)

Université de Sarajevo (UNSA)

Institut kosovar de recherche et de développement des politiques (KIPRED)

Académie macédonienne des sciences et des arts (MANU)

Forum islamique de la jeunesse (IYF)

Centre d’étude de la démocratie (CSD)

Université libre de Bruxelles (ULB)

Centre d’études de l’Europe du Sud-Est, Université de Graz, Autriche (UNI-GRAZ)

Université Rovira i Virgili (URV)

Réseau des villes Euromed